Viens danser dans le studio le plus cool de Paris cet été Rejoins la liste d'attente

#DancefloorChallenge : 30 jours pour changer ses habitudes

Il suffirait de 21 ou 30 petits jours de discipline pour se créer une nouvelle habitude corporelle, et ainsi changer à long terme… La promesse est plutôt alléchante, non ?

Ce Dance challenge de 30 jours… bullshit ou utile ?

En réalité : on a bien creusé nos recherches, les miracles n’existent pas. Les chiffres “magiques” de quelques jours pour se créer une habitude sont nés dans les années 50, lorsque plusieurs scientifiques ont observé des comportements divers, tels que boire 1 litre d’eau ou courir 15 minutes par jour chez différents individus, pour identifier quelle était la durée “optimale” de comportement pour changer à long terme.

Leurs réponses : 21 jours. Ou alors 30. Ou peut-être 66. En réalité : ça dépend des habitudes qu’on cherche à créer, et ça dépend des gens !

Ce qui est sûr, c’est qu’on ne change pas en 1 jour ou même en 2.

Pour nous, 30 jours, ça permet de se créer un routine RÉALISTE et AMBITIEUSE de danse, fondée sur un rythme hebdomadaire, répété 4 fois. Voilà la base de notre calcul extrêmement scientifique !

Par ailleurs, on ne vous recommande pas forcément d’opter pour une pratique quotidienne, mais plutôt de viser un minimum de 3 fois par semaine. On n’oublie pas que le corps a besoin de récupérer, et c’est tout à fait sain de laisser un jour de pause entre chaque jour “dansé”.

EN RESUMÉ :

30 jours de danse = 1 programme hebdomadaire répété 4 fois pour ancrer la nouvelle habitude dans son corps et son esprit

Une pratique 3 fois / semaine minimum, pour prévoir des jours de récupération

#DancefloorChallenge

30 jours de Dance Challenge : qu’est-ce qu’on peut en espérer ?

Les effets que la danse peut avoir sur le corps et le mental sont extrêmement surprenants par leur ampleur et leur diversité. Explications.

1. Les bienfaits de la danse sur le corps : tonicité, souplesse, posture

Audrey Hepburn

La pratique de la danse n’a rien à voir avec d’autres pratiques sportives que vous pouvez connaître, telle que le fitness ou le yoga. La nature des exercices en fait une pratique toute particulière, avec ses effets uniques :

  • Travailler les muscles… mais en longueur !

Voilà le secret des silhouettes qu’on voit se mouvoir avec tant de grâce : les exercices de danse travaillent les muscles en “souplesse” et non en “force” (c’est exactement le contraire que la gonflette à la salle de muscu, si vous préférez !)

  • Une posture de ballerine de la tête aux pointes

Si on joue à disséquer les mécanismes musculaires qui nous permettent d’effectuer de beaux mouvements grâcieux, on se rend compte que TOUT le corps travaille en danse : les pointes de pieds, tous les muscles posturaux, l’ouverture de la poitrine, le port de tête… même la grâce jusqu’au bout des doigts ! Et tout ça, ça se bosse 😉

  • Un corps souple = un corps heureux

L’assouplissement est au coeur de la pratique de la danse, et se fait toujours (toujours toujours) dans une démarche de tonicité musculaire : ça ne sert à rien de tirer sur ses ligaments (à part de risquer de se blesser). La danse est aussi la seule pratique où on travaille l’en-dehors des hanches, qui permet d’atteindre ces jolies postures et mouvements que vous voyez sur les plus belles scènes d’Opéra.

EN RESUMÉ

30 jours de danse ça permet de constater des effets corporels considérables sur :

– sa tonicité musculaire dans TOUT le corps, et sa musculature en longueur

– des parties du corps rarement mobilisés correctement : port de tête, port de bras ou encore pointes de pied !

– sa souplesse

#DancefloorChallenge

2. Les bienfaits de la danse sur l’esprit : endorphines, musicalité, évasion

Saturday Night Fever

Comme toutes les pratiques sportives, danser libère des endorphines : une hormone produite par notre hypotalamus, dans notre cerveau, qui a des effets assez dingues. Sensation de bonheur, de plénitude, voire carrément anti-douleur naturel… cette hormone “magique” est souvent associée au bonheur, et même à l’amour.

Pour avoir sa dose d’endorphines, rien de tel que de transpirer un bon coup. Mais c’est quoi le petit plus qu’apporte la danse alors ?

N’oublions pas que lorsque vous dansez, non seulement vous faites du sport, mais vous faites aussi de l’art !

Et ça, c’est une dose d’endorphines produite en plus, y’a de quoi devenir addict !

La pratique de la danse en musique va vous faire stimuler des zones du cerveau encore différente de celles qui sont sollicitées lorsque vous faites du sport : ça bouge aussi dans les méninges. Il n’y a que comme ça qu’on acquiert ce fameux ‘sens du rythme’ : ce n’est pas en y réfléchissant, c’est en DAN-SANT.

Concentration sur la posture, sur la chorégraphie à reproduire, sur la musicalité, sur l’effort physique… ça fait beaucoup non ? En effet, la danse est une pratique tellement complète que c’est l’évasion 100% garantie : il ne reste plus de place pour penser à la liste de course !

EN RESUMÉ

30 jours de #DancefloorChallenge c’est 30 jours de régime “FULL ENDORPHINES” pour votre cerveau.

– libération d’endorphines par la pratique sportive

– libération d’endorphines par la pratique artistique

– évasion totale pour atteindre le lâcher prise

#DancefloorChallenge

3. L’importance de la mémoire du corps en danse

Photo Pinterest

Et oui, le corps a une mémoire… Et c’est cette mémoire-là (pas la “mémoire intellectuelle”) qui vous fait retenir les chorégraphies !

C’est un mécanisme totalement incontrôlable par l’esprit, par conséquent, le seul moyen de travailler cette mémoire, c’est de répéter les mouvements. C’est la raison pour laquelle les exercices de danse sont souvent les mêmes partout dans le monde, les postures si codifiées, et les exercices souvent fondés sur la répétition sans relâche !

Grâce à une pratique très régulière, vous allez travailler la mémoire du corps, et ça a deux impacts non négligeables :

  • La bonne posture deviendra un automatisme : plus besoin de penser à pointer son pied, baisser ses épaules ou rentrer son ventre, votre corps le fera automatiquement !
  • Une mémoire du corps bien entraînée permet d’apprendre des chorégraphies plus facilement : plus besoin de se prendre la tête pour apprendre les pas, place au KIF ULTIME de l’interprétation

A ce propos, avez-vous passer cette vidéo hyper émouvante d’une ballerine atteinte d’Alzheimer, dont le corps se souvient encore des mouvements du Lac de Cygnes… C’est aussi très poétique la mémoire du corps !

EN RESUMÉ

30 jours de #DancefloorChallenge, c’est 30 jours pour se créer une mémoire du corps :

– à vous les automatismes : une posture de ballerine sans même y réfléchir

– à vous les chorégraphies de rêves : à apprendre en un clin d’oeil

#DancefloorChallenge

Le plus dur c’est pas les 30 jours… c’est les 3 premiers !

Et oui, la danse, ça peut être extrêmement ingrat si on n’en a jamais fait ou si on reprend après des années…

Si vous vous sentez raides comme des manches à balais, gras comme des hippopotames, grâcieux comme des lavabos ou que vous ne comprenez rien aux pas, rassurez-vous : C’EST NORMAL !

Il n’y a aucune solution miracle : il faut reprendre progressivement, écouter son corps, et persévérer.

Heureusement pour vous, grâce à Dancefloor :

  • vos professeurs ont été sélectionnés pour leur bienveillance, donc vous ne serez jamais dévalorisés, seulement challengés.
  • tous nos cours se déroulent en ligne et bien planqués chez vous : alors certes, au début, on ne ressemble pas à grand chose, mais il n’y a aucun témoin 😉

On espère que vous êtes prêt.e.s à relever le #DancefloorChallenge avec nous !

Votre objectif : au moins 12 cours en 30 jours pour voir votre corps et votre esprit changer considérablement.

Vous êtes déjà abonnés Dancefloor ? Ecrivez-nous à hello@dancefloor-paris.com pour qu’on vous mette en relation avec un expert-danse qui vous créera un programme sur-mesure !

N’oubliez pas de nous partager vos progrès sur Instagram #DancefloorChallenge

Happy Dancing 🕺🏽